Katherine-Ann Paterson

Nom :: Paterson
Prénom :: Katherine-Ann
Surnom ( s ) :: Kathe
Âge :: 23 ans
Pays, ville d'origine :: New-York, États-Unis


Description Physique :: Kate fait 5'4'', ce qui ne fait pas d'elle une très grande personne (Si on ajoute au fait qu'elle ne se tient qu'avec des gars qui font tous pratiquement 6'-0''). Elle est menue, jolie, avec les cheveux bruns coupés courts aux épaules. Ses yeux marrons et moqueurs s'harmonisent à merveille avec son petit visage fin. N'étant pas une «vraie fille», elle ne se maquille que légèrement (À part en de rares occasions où ses copains en profitent pour la narguer au lieu de simplement la complimenter). Son style fait un peu grunge avec plus de classe (On ne peut sortir New-York de la fille!) mais, est somme toute sobre. Des vêtements, elle en a des tonnes.

Description Psychologique :: Kate est plutôt du genre détendue, drôle, et très charismatique. C'est le genre de fille qui n'a pas froid aux yeux. Toujours partante pour l'aventure. La jeune femme laisse paraître qu'elle est indépendante, responsable, forte. En vérité, elle aimerait bien, de temps à autre, être considérée comme une vraie fille, une princesse. C'est qu'elle se tient principalement avec des garçons et que, bien souvent, ses copains ont tendance à oublier qu'elle n'est pas juste une amie, ou un petit frère, mais aussi une femme. Il faut dire que la séduction n'est pas son fort. Elle est plutôt du genre directe, mais mignonne.

Particularité :: Kate est la meilleure amie de Cole. Il passe le plus clair de leur temps ensemble. Aussi, elle a pratiquement sa chambre au condo (Une pile de couverture près du modulaire de cuir). Elle et Casey, la sœur jumelle de Cole, s'entendent très bien.
Parascolaire :: Le surf, bien que ce ne soit pas un cours.
Intérêts :: Plage, surf, dénicher encore plus de vêtements!
Domaine d'études :: Cinéma

Histoire :: Il n'y a pas grand-chose à compter. Je suis née à New-York, j'ai vécu à New-York et je pensais y mourir aussi. Mais, non (Quoi que ça aurait pu faire un bon film dramatique). Je suis finalement déménagée en Californie. Pourquoi? Parce que c'est là, et seulement là, que tu peux devenir un grand du cinéma! Je veux dire, tous les plateaux y sont. Certes, beaucoup de tournages se font à New-York et c'est super (Maman et papa seront bien heureux lorsque je leurs rendrai visite), mais pour être au top, il faut être au bon endroit.

Ok, partons du début. J'ai une famille super. Des parents aimant qui sont toujours mariés et qui vont à l'église tous les dimanches (Ouais, là-dessus, je ne suis pas vraiment. Sauf à Thanksgiving, Noël, Pâques, et bref, vous comprenez). J'ai trois idiots de grands frères (Quand je dis «idiot», c'est amical, fâchez-vous pas). Brand, l'aîné, est capitaine au sein des pompiers de New-York. Louis, lui, est présentement sur une base militaire en tant que soldat et Matthew vient d'être promu chef de la police. Et moi, je suis en cinéma… Ouais, j'ai sans doute loupé le concept familiale, mais on s'en fiche, je suis la seule fille, donc je fais ce que je veux… Enfin, ça pas toujours été le cas.

L'adolescence chez la famille Paterson s'était disons… Divertissant. Je vous dirais que mon premier petit-ami, j'ai réussi à avoir un cinq minutes seule avec lui pour l'embrasser, cachés derrière l'abri anti-nucléaire que Louis bricolait (Ne cherchez pas à comprendre) après avoir soudoyer le chien avec le reste de mon burger du dîner. Pas des plus romantiques, vous en conviendrez. Bref, étant la seule fille, je devais tolérer toutes celles que mes frères ramenaient, mais moi, MOI, si j'avais le malheur de dire que je fréquentais un garçon, j'avais trois imbéciles (Plus mon père) qui me collaient aux basques au cas où le pauvre gars aurait besoin de se faire casser les jambes. Je les aime, je vous assure, mais mon adolescence a été totalement absente d'intimité. Pour les pardonner, ma mère m'amenait faire les boutiques (Seul lieu sûr, abri anti-frères). C'est sans doute durant cette période que j'ai développer cette obsession pour les vêtements.

… Et le sport. Heureusement qu'il y avait la natation à l'époque. En plus, une équipe de filles. Chouette vous me direz. Enfin des êtres civilisés avec qui bavarder de garçons, problèmes féminins et, je vous arrête là. Erreur. C'est à cet âge que j'ai compris que j'étais mieux de me tenir avec des mecs. Définitivement, j'étais un peu trop brusque à seize ans pour un groupe de nageuses aux maillots pastelles et aux ongles d'orteils vernis. Maman m'a simplement changée d'équipe pour une équipe mixte. Très humblement (sans être influencée par les cris et sifflements de mes frères dans les gradins) j'étais la meilleure. Je nage comme un poisson dans l'eau encore aujourd'hui, ne manque plus que pouvoir y respirer (Toujours rêver, oui).

C'est lorsque mes frères ont quitté chacun leur tour la maison que j'ai eu l'impression de tourner en rond. New-York, c'est génial! Mais quand tu y a vécu toute ta vie, c'est un peu comme partout ailleurs, il te vient l'envie de voir du pays. De partir toi aussi. Au départ, mordue que j'étais de la saga de films «Harry Potter», j'ai lancé à mes parents que je partais étudier en cinéma, à Londres. J'ai bien failli les tuer. Tout compte fait, il était stupide de s'exiler si loin alors que l'on a ici la plus imposante des industries cinématographique! C'était un genre de compromis pour tout le monde.

C'est donc pour ça que je suis ici. Bon, je vous épargne la partie terriblement touchante et dramatique de ma vie où j'ai perdu Arthur, mon chat, qui s'est fait frappé lorsque j'avais dix ans et l'autre, où Louis voulait fait une expérimentation avec mes poissons rouges (Ne pas pauser de question, encore une fois). Bref, j'aime cette université. J'ai un petit appart charmant et une vie d'étudiante plutôt remplie. Il faut dire que d'être la meilleure amie de Cole Philipps, ça vous comble un emploi du temps! J'adore ce type, mais putain qu'il est doué pour se (nous) foutre dans la merde. J'ai arrêté de compter le nombre de fois où Casey, sa sœur, est venue nous chercher en voiture à plusieurs endroits, au beau milieu de la nuit parce qu'on ne savait plus trop où nous étions, ou encore parce qu'on était trop saoul pour s'en souvenir. C'est fou, le don qu'elle a pour trouver son frère alors qu'il lui donne des indications de merde.

Ouais, on abuse peut-être un peu ces derniers temps. Mais, dites-moi, comment faire autrement avec la plage, les partys et le surf!?

Appartenance :: Humain
Pouvoir(s) :: Aucun